HISTOIRE IMMÉDIATE
Dans la rubrique intitulée « Interlude », je conte mes aventures universitaires avec, en ce moment, une bonne trentaine d’années de distance. Pour narrer les épisodes que j’ai vécu à l’IPAG depuis novembre 2018 jusqu’en ce mois de juillet 2023. Il m’a semblé difficile d’attendre aussi longtemps…
Vous n’ignorez pas plus que moi les risques de relater des péripéties récentes : d’une part la patine du temps n’est pas disponible, qui permet de ne retenir que les évènements saillants. D’autre part, le risque de heurter le sensibilité des acteurs reste élevé, quelles que soient les précautions. Cependant il s’agit d’une tranche de vie bien particulière qui vient de s’achever et je n’ai pas l’intention de blesser qui que ce soit, l’objet de ce récit ne concernant que mes propres actions.
Toutefois, ce qui s’est passé à partir de novembre 2018 nécessite au préalable un retour en arrière.
Le 31 décembre 2013, j’ai cessé d’être professeur d’université pour muter dans une fonction hybride, professeur émérite pour cinq ans, fonction qui a été renouvelée deux fois pour trois ans et qui s’achèvera irrévocablement le 31 décembre 2024, cinquante-deux ans et trois mois après le début de ma carrière universitaire.
J’aurais pu prendre plus tôt ma retraite, mais je souhaitais faire soutenir la plupart des thèses que je dirigeais en étant en activité, afin de permettre aux trois doctorants qui soutenaient en 2013 de bénéficier encore de mon soutien pour obtenir un poste de Maitre de Conférences. Mais seul l’un d’entre eux réussit à obtenir un poste de Maitre de Conférences et la vérité est qu’il l’obtint par son entregent plutôt que par mon soutien.
La fonction hybride de professeur émérite permet de donner des cours ou de faire soutenir des thèses, mais pas d’assurer des responsabilités administratives. Je fis donc soutenir deux thèses supplémentaires en 2015 dont l’une devint la seule thèse en langue anglaise que j’ai jamais dirigé, tout en étant la 42e et dernière thèse que j’ai fait soutenir depuis 1983.
L’année 2014 s’annonçait tranquille. Elle ne le fut pas, au contraire elle fut très agitée et, au moins pour le 1er semestre 2014, elle restera comme un fort mauvais souvenir.
Quoi qu’il en soit, j’organisais mes activités professionnelles autour de deux pôles, un pôle recherche à partir de mon bureau de la Faculté de Droit, travaillant notamment avec les juristes sur le lien entre la fiscalité et la gestion ou sur les problématiques de management dans le cadre européen qui donnèrent lieu à deux congrès les années suivantes, à Varsovie et à Banska Bystrica.
Le second pôle, celui de l’enseignement, s’annonçait actif, du moins en cette année 2014. J’enseignais, et j’enseigne toujours le Marketing dans le cadre du Master Management à l’Université de Corse. Je dirigeais un séminaire à Mundiapolis, à Casablanca, sur la recherche marketing et cela entrainait de nombreux échanges avec les étudiants en DBA. En ce qui me concerne, ce séminaire s’est arrêté, quelques années plus tard, car mes collègues préféraient à juste titre envoyer des enseignants en activité donner les cours plutôt que de les confier à un professeur émérite.
Je venais aussi, grâce à l’action de mon regretté collègue et ami Filip Palda, d’être nommé pour trois ans professeur associé à l’ENAP, université du Québec à Montréal.
C’est pourquoi je me rendis deux fois au Québec, au printemps et à l’automne 2014. Mais ma déception, voire mon étonnement, furent grands. Je croyais, naïvement, que ma triple expérience, en enseignement, en recherche et en création de programmes de formation en gestion, pourrait leur sembler féconde. Je compris rapidement qu’à l’ENAP, préoccupés à 99% par leurs problèmes internes, mes collègues québécois ne se posaient même pas la question de savoir si je pouvais leur être utile. Je ne crois même pas que quiconque à l’ENAP lut jamais mon CV.
Après avoir cherché à me faire une place dans leur organigramme, je finis par comprendre assez rapidement que le proverbe « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif » s’appliquait parfaitement aux rapports entre l’ENAP et moi.
Je laissais l’âne à ses occupations et me tournais vers d’autres contacts au Canada.
A SUIVRE
L'ACCIDENT
Après Un récital intérieur (2013) et Le quatuor de Lucerne (2021), deux œuvres fort distinctes mais toutes deux consacrées à la musique, Christian Caleca nous livre L’accident, un ouvrage qui aborde une thématique éloignée en apparence de la musique.
En apparence, encore qu’il s’agisse toujours d’harmonie, harmonie avec son monde, harmonie avec sa vie, harmonie apparente, harmonie perdue, harmonie retrouvée mais harmonie fragile. Et pour peindre ces différentes formes d’harmonie, l’auteur nous propose un roman, qui lui permet de prendre la distance qui l’arrange avec ses personnages, encore que l’on sente bien qu’il les a tous rencontré, parfois de très prés.
Car tout de suite, ce roman apparait authentique, personnel, profond. Il ne fait aucun doute que l’auteur fait corps avec les créatures auxquels il s’identifie, et pas seulement à Pierre Dorval, le héros central du roman.
J’ai beaucoup aimé ce livre car il reste authentique dans toutes ses dimensions. Lorsque l’auteur choisit « l’accident » comme titre, il ne triche pas, car l’accident est bien au cœur du roman et il y est même à plusieurs titres, comme vous le verrez. Lorsqu’il décrit Lancigny, on reconnait sans peine une charmante ville d’eau bien connue en train de s’éteindre doucement, mais où il fait si bon vivre. Lorsqu’il décrit le site d’Alphagum, cette usine qui fabrique des caoutchoucs spéciaux, on partage la fascination de ses cadres pour la matière qu’ils transforment, tout en étant inquiets face aux projets de la maison mère américaine General Rubber. Car cette dernière n’a, on le sent bien, aucune tendresse particulière pour l’usine française ou pour ses employés livrés tout crus à l’ogre américain par l’État français, par les actionnaires et par l’opinion publique.
Enfin, lorsque l’auteur décrit les rêves, les ambitions et les faiblesses de ses personnages, on reconnait aisément les acteurs de notre société contemporaine, ces cadres qui font semblant de croire que leur vie ne connaitra aucun accident, qu’ils peuvent se permettre de mettre de côté leur vie personnelle au profit de leur vie professionnelle, avec la foi du charbonnier pour un système qu’ils ne contrôlent pourtant pas.
Comme j’avoue un fort penchant pour l’incomparable culture iranienne, j’aime qu’il ait pris le soin d’inscrire dans son roman une femme iranienne, Mithra, qui finalement se révèlera dans le rôle de l’épouse de Pierre. Et lorsque tout le système de Pierre déraillera à cause de l’accident, sans que je puisse ici vous en révéler les détails, elle jouera son rôle avec une finesse toute iranienne alors que toutes les conséquences qui en découlent s’enchaineront implacablement.
Puisqu’il faut un responsable à l’accident, Pierre devra assumer ce rôle. À cette occasion il découvrira la brusque solitude du chef, il verra ses patrons américains saisir l’occasion qu’offre l’accident pour régler leurs comptes avec la filiale française et ses dirigeants. Il verra son monde intime se dissocier sous les coups de l’inévitable corbeau qui se cache dans la foule, une foule qui ne ratera pas l’occasion de se réjouir du malheur de l’autre, et on la comprend, puisqu’elle a dû si longtemps ronger son frein en le regardant étaler vivre un double bonheur, professionnel et familial sans pouvoir l’atteindre.
Face à cette déconstruction programmée d’un système qui révèle alors toutes ses contradictions et ses illusions, Pierre devra attendre l’opportunité de rebondir, à supposer qu’elle se présente. C’est alors, et j’aime particulièrement cette partie du roman, que les évènements, après s’être organisés pour l’abattre, se concerteront pour lui permettre de se reconstruire.
L’accident ne serait pas un bon roman s’il n’était un roman pluridimensionnel. Il est, dès les premières lignes, un hommage tendre et mélancolique pour Vichy et son art de vivre en péril. Il propose une analyse du détricotage de l’industrie française, au profit de l’ogre américain. Il montre de l’intérieur les mécanismes d’un management limité par son manque de pouvoir et toutes les hypocrisies qui en découlent.
C’est aussi un roman sur la loyauté qui est le révélateur de l’amitié. J’aime le personnage d’Olivier Vermeulen le syndicaliste, loyal envers son ex Directeur Général dont il a compris la sincérité et la profondeur, comme envers ses syndiqués et son entreprise. Vermeulen, un homme, un vrai.
C’est enfin un roman sur l’amour entre des personnages qui cherchent leur voie au milieu des pièges qu’ils ont, chacun pour leur part, contribués à créer et qu’ils devront surmonter ou contourner durant les sept années durant lesquelles le roman se déroule, selon quarante chapitres nerveux y compris l’épilogue, qui cernent bien chacun un épisode précis, réaliste et clair de cette belle histoire.
Logiquement l’histoire a commencé avec la susdite Lancigny, elle se termine aussi avec cette dernière, au point de se demander si cette ville n’en est pas, au fond, l’acteur principal, à moins que l’auteur veuille juste nous le faire croire. Voici en tout cas les deux dernières phrases de son livre :
« Il semble qu’il existe de moins en moins de refuges pour se tenir à l’écart de tous ces grands basculements. Et pourtant on ne renonce pas à l’espoir. »
Des refuges en peau de chagrin ?
De grands basculements ?
L’espoir ?
On pourrait discuter longtemps de ces assertions, mais le mieux est de lire L’accident.
Christian Caleca, L’accident, Éditions Maïa, 187 pages, 20 euros.
GUERRE ET GÉNOCIDE EN VENDÉE
La Révolution s’enfonce dans les révoltes, la répression sous forme de massacres à partir du printemps 1793. On peut désespérer des personnes obtuses ou endoctrinées qui veulent encore croire que la Révolution fut bénéfique pour la France, mais on ne peut guère espérer les convaincre. C’est pourquoi je ne ferai pas d’effort dialectique particulier en ce sens.
La guerre de Vendée commença mal pour la Convention : le 23 juin 1793, l'armée vendéenne occupait Angers. Le 29 juin, elle débutait le siège de Nantes. L'armée républicaine de Westermann était écrasée par les Vendéens à Chatillon-sur-Sèvre*, tandis que l'assaut vendéen contre Nantes échouait.
Malgré les quinze mille hommes supplémentaires commandés par Kléber, ce dernier était battu par les troupes de Charrette. Il faudra quatre colonnes réunies pour battre, après deux jours de combat, l'armée catholique et royale à Cholet le 17 octobre 1793. Puis, le 12 décembre 1793, la colonne vendéenne sera surprise au Mans par Marceau et complètement défaite. Acculés à la Loire, après qu’ils se soient rendus, douze à quinze mille vendéens furent massacrés sur ordre de Prieur-de-la-Marne, qui fit fusiller tous les prisonniers, hommes et femmes, après les avoir dépouillés de leurs vêtements en vue de les récupérer.
Il y eut tout de même des survivants qui parvinrent à traverser la Loire et à se jeter dans les Mauges où ils continuèrent le combat pendant encore deux ans.
Lorsque les troupes vendéennes eurent été battues et exterminées, le général Grignon ordonna de passer au fil de la baïonnette tous les habitants de la Vendée. Le général Turreau précisa que « La Vendée devait être un cimetière national ». À partir du 21 janvier 1794, ce dernier lança sur ordre de la Convention, douze « colonnes infernales » qui convergèrent vers le centre de la Vendée en exterminant tous les êtres humains qu’elles trouvèrent sur leur passage, hommes, femmes, enfants, tandis que le reste, fermes, bois, récoltes, était brûlé.Sur les huit cent mille habitants de la Vendée militaire, de cent à trois cent mille personnes, selon les estimations, ont été massacrées de la sorte. Au nom de la liberté, les pires barbaries furent commises, femmes enceintes éventrées, prisonniers noyés dans la Loire ou étouffés dans des pontons hermétiquement clos. Hitler, Staline ou Pol Pot ne sont pas parvenus à dépasser en horreur la Révolution française. Lisez à ce propos le compte rendu du général Turreau qui rend compte de ses faits d’armes au Ministre de la Guerre :
« Le général de brigade Huché, qui commande à Chollet une forte garnison avait reçu l'ordre de moi de dissiper tous les rassemblements qui pourraient se former aux environs. Instruit qu'il y avait sept ou huit cents brigands à la Gaubretière qui inquiétaient Mortagne, Huché part de Chollet avec un fort détachement, et, par une marche nocturne et rapide, surprend les ennemis. Cinq cents ont été taillés en pièces, parmi lesquels un grand nombre de femmes, car les femmes s'en mêlent plus que jamais. » En outre, le général Huché rend compte du déroulement des opérations : « Plus de cinq cents, tant hommes que femmes, ont été tués. J'ai fait fureter les genêts, les fossés, les haies et les bois, et c'est là qu'on les trouvait blottis. Tout a passé par le fer, car j'avais défendu que, les trouvant ainsi, on consommât ses munitions. » Des malheureux décapités, les oreilles coupées, les femmes, les enfants, les vieillards…
Si le terme de génocide a un sens, il s’applique sans aucun doute à l’action de la Convention en Vendée, perpétré par des responsables politiques et militaires français sur leur propre peuple, avec pour objectif de terroriser tous ceux qui auraient l’intention de se révolter contre la Convention.
Tandis que la Convention massacrait les Vendéens, elle procédait par la force à une levée en masse de soldats, qui avait fortement contribué aux violentes révoltes contre la Convention. Mais l’importance numérique de sa population à la fin du XVIIIe siècle donnait à la France un avantage par rapport à une coalition de pays aux populations plus faibles : alors que la France comptait vingt-sept millions d’habitants, la Prusse, l’Autriche et l’Angleterre en rassemblait à peine 30 millions à elles trois et l’Espagne pas plus de dix millions et c’est pourquoi la France n’avait pas hésité à déclarer la guerre à l’ensemble des pays européens.
Sur les frontières, la levée en masse permit de rassembler un effectif considérable, cinq cent mille hommes répartis en quatorze armées, ce qui assura la supériorité numérique des troupes françaises sur l’ensemble des troupes coalisées et les obligea à se replier. C’est ainsi que sur le front de l'Est, les armées de Moselle et du Rhin repoussèrent les austro prussiens au-delà du Rhin où elles prirent leurs quartiers d'hiver. Sur les Pyrénées, les Espagnols furent contenus.
À l’intérieur de la France, une armée de sans culottes sillonnait la province, avec pour mission de terroriser les opposants et les tièdes, utilisant la « loi des suspects »
* Chatillon sur Sèvre a fusionné depuis avec Saint-Jouin-sous-Chatillon pour devenir la commune de Mauléon.
À SUIVRE
CINQ DESTINS DE DOCTEURS
Pendant ces quatre années de direction de l’IECS (1992- 1995), j'ai continué mes activités universitaires, à un rythme toutefois plus ralenti.
En 1992, j'ai fait soutenir la thèse de Djamila El Madjeri, l'épouse d'Ali El Idrissi qui avait soutenu sous ma direction sa propre thèse quelques années auparavant. Sa thèse portait sur "Les joint-ventures et le processus d'innovation", une thèse de bonne qualité qui l'a conduite à une belle carrière à l'IAE de Nice qu'elle n'a pas encore achevée. Nous avons souvent travaillé ensemble, notamment pour la direction du Master Marketing où elle s'est révélée une administratrice prudente et avisée ou la Direction du Master en Administration des Entreprises de l'IAE de Nice qu'elle a fort bien géré et développé.
En 1993, Ghazi Qazi, un étudiant irakien de bon niveau soutenait sous ma direction une thèse intéressante sur la "Stratégie de développement des petites et moyennes entreprises industrielle : le cas de l'Irak.". C'est le seul doctorant irakien que je n’ai jamais dirigé et j'en garde un bon souvenir. Il croyait en l'avenir de l'Irak et en particulier au développement de ses PME. Tout de suite reparti en Irak après sa soutenance, je n'ai malheureusement plus jamais eu de ses nouvelles. En raison du sort tragique de l'Irak déterminé par le règne de Saddam Hussein puis l'horrible intervention américaine, j'espère qu'il a survécu à tous ces cataclysmes et qu'il mène une belle vie. Si quelqu'un a de ses nouvelles, je serai heureux d'en bénéficier.
La même année, Annie Sinda a soutenu sa thèse portant sur "La Stratégie de l'Entreprise Agricole : Application à la gestion de la petite entreprise agricole en France." Je connaissais Annie depuis longtemps, puisque elle avait été mon étudiante en Maitrise et que je l'avais embauché lorsque je dirigeais la formation continue de l'Université de Nice (CEPUN). J'étais donc heureux de lui faire soutenir une thèse sur un sujet qui lui tenait à cœur, mais qui allait engendrer d'énormes difficultés pour qu'elle obtienne un poste de Maitre de Conférences en Sciences de Gestion.
Finalement son obstination et la mienne conjuguées ont permis de la nommer à Clermont II où elle a, semble t-il, été appréciée, avant de partir à la retraite cette année.
En 1994, Jean-Marc Ferrandi a soutenu sous ma direction sa thèse sur "Les effets de la culture sur le comportement de consommation : complexité du concept et limites de la mesure.". Depuis, il est devenu un brillant professeur à ONIRIS dont il est le directeur du Centre d’Innovation Alimentaire. ONIRIS qui est l'École nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l'alimentation de Nantes-Atlantique, l'une des quatre grande écoles françaises assurant la formation des vétérinaires. Je suis très heureux du succès de Jean-Marc Ferrandi qui est, à ma connaissance, l'un de mes docteurs qui a le mieux réussi sa carrière professionnelle. Nous avons gardé des relations amicales, quoique plus distendues depuis ma pseudo retraite, mais j'aurais l'occasion de citer Jean-Marc Ferrandi lorsqu'il m'a aidé plus tard à résoudre un problème de direction de thèse.
En 1995, Henri Alexis a soutenu sous ma direction "Les Stratégies des PME face au Management Public Local." Mais il a rapidement compris que son profil n'était pas adapté aux Sciences de Gestion. Il a donc entrepris une seconde thèse en Science de la Communication qui lui a permis de trouver un poste de Professeur et d'entreprendre une brillante carrière d'encadrement universitaire, tout d'abord comme chef du Département TC de l'IUT de Nice, puis comme Directeur de ce même IUT. Il est aujourdh'ui retraité mais n'en poursuis pas moins une seconde carrière d'enseignant universitaire et nous ne nous perdons pas de vue.
Je suis bien entendu heureux d'avoir participé, parfois si peu que ce soit, à la réussite professionnelle de mes collègues, même si je l'ai fait de façon fort inégale en fonction des besoins de chacun.
À SUIVRE